Espace de discussions du SNPTES-UNSA

Sujet de discussion => Mobilité (mutation, détachement, ...) => Discussion démarrée par: Hayao le 14 Février 2018, 14:58:25

Titre: Fin UMR changement affectation ITA
Posté par: Hayao le 14 Février 2018, 14:58:25
Bonjour,

Je souhaiterais savoir comment cela se passe pour les ITA titulaires CNRS lorsqu'une UMR se termine. Peut-on demander d'intégrer une autre UMR sans NOEMI ? Est-on obligé de suivre les chercheurs avec lesquels on travaille ?
Est-ce juste une nouvelle affectation sachant que l'ancienne n'a plus de raison d'être ?


Merci de m'éclairer sur le sujet.

Titre: Re : Fin UMR changement affectation ITA
Posté par: Xav_D le 15 Février 2018, 09:27:58
Bonjour,

Lorsqu'une UMR ferme suite au non renouvellement de celle-ci, les collègues peuvent parfois suivre les chercheurs avec lesquels ils travaillaient (déménagement d'équipe), ou plus généralement, ils sont en situation de mobilité et le CNRS doit leur proposer au moins 3 postes correspondant à leur corps et métier, afin de les reclasser.

Sans connaître plus avant l'unité en question, je ne peux vous répondre plus précisément sur le sujet et la gestion qui va être mise en œuvre par le CNRS..
Titre: Re : Fin UMR changement affectation ITA
Posté par: kamelfons le 15 Février 2018, 15:31:12
Bonjour,

je sais qu'il existait une instruction sur le redéploiement des ITA (ancienne) mais impossible de remettre la main dessus et je ne sais pas si cette instruction est toujours valable.
les délégués SNPTES vous aideront mieux que moi

bon courage
Titre: Re : Fin UMR changement affectation ITA
Posté par: ThomasJj le 15 Février 2018, 16:39:44
Les agents dont l'unité va fermer sont sensés le savoir bien en amont, genre une bonne année minimum. Avec l'appui de la DR, ils peuvent effectuer une mobilité via Noemi-FSEP, mais aussi hors Noemi. Dans ce dernier cas, l'agent peut prendre les devants et sonder des collègues, DU, chefs d'équipe de labos qui l'intéressent ; il est alors nécessaire que le profil du poste soit une priorité pour le labo de destination et l'institut de rattachement, ce qui rend la démarche plus incertaine, mais pas impossible.

Par ailleurs, l'ITA n'est pas obligé de suivre le chercheur avec qui il collaborait.